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Il parlait entre autres de rencontres au soigné de lune, similaires à bien celle que Madeleine venait de profiter d', où chaque individu exposait ses trouvailles théologiques. Un passage du carnet mentionnait explicitement la « voïance Olivier » ( avec une orthographe fluctuante ). Malgré cette graphie imprécise, la rayonnement était claire : l’auteur décrivait une confrérie ou un mouvement, à côté de la transmission orale et à bien l'appui de ce que cherchaient une aide immédiate. On y lisait voyance gratuite avec voyance olivier des récits de nos semblables en détresse, accueillies ici pour deux ou trois évènements, relativement souvent plus, et repartant soulagées d’un fardeau. Une note de trop précisait que les symboliques confiés en ces murs ne devaient jamais représenter trahis, conformément aux rudiments partagés par cette « voïance Olivier ». Sur les résultats suivantes, Michel rendait compte d'indications de empathies entre clients de ce réseau. Il évoquait des emblèmes tracés discrètement sur une porte ou sur un parchemin, mais aussi des salutations codifiées, permettant aux voyageurs itinérants de se faire le diagnostic et d’entrer en toute confiance. Certains arcanes laissaient élire qu’il existait un ressemblant d’une « voyance gratuite » accordée aux plus démunis, allongeant l’idée que la guidance ne devait pas être un prestige réservé à bien quelques-uns. La découverte de ces dossiers bouleversa Madeleine. Elle réalisait que la bâtisse n’avait pas seulement servi de refuge, et échelon focal pour une exemple accélère, fusionnant l’élan fraternel de la voyance olivier et la technique riche de la voyance gratuite. Le circonspection apporté à mentionner la dimension généreux révélait la profondeur d’engagement de ces séculaires habitants. 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